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Exemple

Thème : Science et investigation policière

 

Le thème « sciences et investigation policière » se prête particulièrement bien à l’implication des SVT, mais il est aussi remarquable pour la mise en place d’une transdisciplinarité, comme en témoignent certaines « option sciences » déjà menées en classe de seconde.  De nombreuses manipulations sont possibles, même si certaines sont pour le moment inaccessibles, en raison semble-t-il du secret professionnel, ou encore de l’accès à du matériel très coûteux. Pour la majeure partie, le matériel et les logiciels présents au laboratoire suffisent. Il est possible ainsi d’aborder des notions de géologie (sables, sols),  de biologie végétale (pollens, fibres de vêtements), de biologie animale (poils, peau, dents, squelette, sang) de physiologie (métabolisme, alcoolémie) ou encore de génétique et biologie moléculaire (caryotype, ADN, enzymes  de restriction). Certains aspects de l’histoire des sciences peuvent aussi être convoqués. Des partenariats peuvent être développés localement avec la gendarmerie ou les services  de police qui développent une image autre que répressive. Certains déplacements d’élèves sont concevables (IML, observation d’un procès en cour d’assises). Il convient toutefois de prendre des précautions (conditions, images ou paroles susceptibles de heurter la sensibilité de jeunes élèves).

L’investigation policière est menée lorsqu’un évènement passé a donné lieu à un délit ou un crime[1].  Elle fait appel à des méthodes scientifiques variées et des pratiques rigoureuses.

 

Deux approches pédagogiques sont proposées, l’une plus classique,  centrée sur des études de cas, l’autre historique.  Le tableau ci-dessous donne des indications plus précises sur les activités pratiques.

 


[1]Selon Wikipedia, en droit pénal français,  « Le crime, au sens pénal du terme, est une classification d’infractions qui se distingue du délit et de la contravention  par le degré d'attribution de l'infraction commise (tel un meurtre, un assassinat ou un viol). En effet, le crime (à ne pas confondre avec le "meurtre" puisqu'il ne s'agit pas ici d'une appellation de l'infraction elle-même mais d'une qualification de son degré de gravité) se détermine par sa sanction, et plus précisément par la peine encourue (peine d'emprisonnement supérieure à dix ans de réclusion criminelle), et par le montant de l'amende infligée (qui doit être supérieur à 3 000 euros). L'auteur d'un crime est jugé en cour d’assises. Dans le code pénal français,  aux crimes correspond la réclusion criminelle et aux délits correspond la peine d'emprisonnement. Les peines d'emprisonnement délictuelles maximales sont de dix ans, au-delà, on parle de réclusion criminelle. Des actes comme le meurtre, le viol, le trafic de drogues, ou encore récemment le clonage, sont considérés comme des crimes en France. L'avortement a longtemps été considéré comme un crime en France, à partir de 1920. Cependant, l'avortement a été correctionnalisé en 1923, parce que les Cours d'Assises acquittaient souvent les accusés. »

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